Au fond de l'animalerie ...[Libre]

Aujourd’hui était un grand jour, du mois c’est ce qu’il paraissait d’après les hommes qui passaient devant chaque cage au centre de redressement. Oui, s’était la première fois qu’il allait quitter cette établissement, cette prison si on veut, mais pour ou ? Il ne le savait pas, et l’endroit ne serait sans doute pas mieux. On pouvait voir cela de cette façon, après tout, lorsqu’on est considéré comme de la marchandise, on ne croit plus trop au bonheur, enfin, ici s’est le cas du jeune Neko. Il était comme dans une grande cage au centre, mais aussi vite ou lui dit sans laisser le choix de rentré dans une toute petite, voir tout juste pour lui. Il entra donc, pas le choix de toute manière. Une fois entré, il fut transporte jusqu’à un camion bâcher qui était loin d’être dans un très bon état. Et à peine qu’il fut mit à l’intérieur, cinq minutes passèrent avant que celui-ci ne démarre.

Enfin en dehors de tout ceci, le temps n’était pas au rendez-vous lui non plus. En effet, depuis qu’il voyager à bord d’un camion depuis la gare pour se rendre à l’animalerie, il n’avait pas encore arrêter une seule fois de pleuvoir, faut croire qu’on voulais lui gâcher sa journée mais forte heureusement s’était déjà fait depuis bien longtemps. En même temps, il était plus ou moins protéger, en effet il y avait bel et bien une bâche au-dessus des nekos mais je ne vous cache le mauvais état de celle-ci. Alors il n’avait que sa petite veste blanche sur lui ainsi que son pantalon noir et son t-shirt de la même couleur. Vu qu’il n’arrêter pas de pleuvoir, je ne vous cache pas qu’il était légèrement trempé, l’eau dégouliné petit à petit de ses long cheveux ainsi que sur ses joues lisse. Bien qu’à coter de ce qu’on pense, ça ne le dérange pas du tout d’être mouillé de haut en bas, s’était plutôt le contraire, bien qu’être sec est nettement mieux. Ce qui est d’avoir froid, ça ne risquer pas d’être le cas non plus, il était bien habituer à que les température soit plus basse mais bon, ce n’était pas le cas de chaque neko présent dans l’arrière du véhicule, mais on n’en avait que faire….

Alors que ça faisait facilement 10/15 minutes qu’ils étaient tous secouer dans le camion qui semblait passer à travers toute la ville, il s’arrêta à petit coup avant d’être définitivement stopper devant le magasin. A ce moment, Naizen pouvait enfin voir le bâtiment se brandir petit à petit devant lui. De première vue ça n’avait l’air pas mal, et surtout ça avait l’air très grand, sans doute qu’il devait y avoir autant de marchandise comme lui. Faut pas oublier qu’on répète toujours que les apparence sont trompeuse..

*Est-ce un début ou une fin ?…*

Il tira un soupir en fermant les yeux avant de continuer à contempler si on peut le dire de cet manière le bâtiment qui se trouver plus qu’a quelque mètre de lui. Alors qu’il regardait le bâtiment, il senti une énorme secousse, et en tournant la tête, il vit en faite qu’un homme venait de prendre sa cage afin de la mettre sur une autres dans une sorte de chariot. Il ne fallut pas longtemps pour descendre et entrer dans ce magasin. Lors de son entrée, on pouvait entendre certains crier, et le vendeur crier dessus, à son avis ça devait faire longtemps qu’il était ici, et en avait marre. Faut dire qu’être enfermé dans des cages fort petites toutes une journées ce n’était pas agréable, alors quand ça s’allonge de plusieurs semaines, s’est encore pire. Le vendeur disait à l’homme où poser les différente cage, les plus jeune, c'est-à-dire ceux entre 15 et 17 ans était mit soit en vitrine ou dans les première quand au plus âgé, c'est-à-dire ceux qui avait un peu plus de 18 ans, était mit dans les dernière, au fond du bâtiment. Naizen fut donc au fin fond du magasin, là ou rare sont les gens qui viennent voir, et en plus du au camp de sa provenance, il ne pouvait le vendre à un bon prix, raison de plus pour le mettre à l’oubliette si on veut. Il était donc dans sa cache, appuyer sur les barreaux, le genoux gauche relever de manière à mettre poser son bras dessus, quand au reste, il était mit comme il pouvait. Son regard était vide, mais ça s’était normal, il l’est depuis bien des années à présent, et regardait en direction du sol droit devant lui. Pour ne rien arranger, il était mit un peu à l’écart des autres mais il s’en moquer, après tout quo qu’il arrive ça ne pouvait être pire…

Yuki marchait silencieusement dans les rues. Personne n'aurait pu croire qu'elle était une neko, car elle avait trouver un gros pull noir avec un capuchon, qui lui permettait de cacher sa vraie nature. Où l'avait-elle trouver ? Dans les poubelles, bien sûr. Elle n'a pas le choix, pour survivre. Depuis déjà une dizaine d'année,s elle errait de cette façon pour survivre. Bien sûr, elle ne sortait que la nuit, ou bien les jours très nuageux tel qu'aujourd'hui, car sa nature d'albinos était une contrainte, qui l'empêchait de s'exposer au soleil. Qu'arrive-t-il si jamais... ? Le cancer de la peau. Alors vous comprendrez pourquoi elle ne sort jamais lorsque le soleil est bien haut dans le ciel. La jeune neko enfonça les mains dans ses poches, et avec surprise, sentit quelque chose de dur et de froid. Elle sortit ce qu'il y avait, pour découvrir un canif. La personne qui avait jeter ce vêtement l'avait sûrement oublié. Tout en haussant les épaules elle le remit dans sa poche : Cela pouvait toujours servir, non ? Elle jeta un coup d'oeil au ciel sombre. Toute la journée, la pluie s'était déversée sur la ville, sans arrêt. C'était le genre de temps qu'elle adorait, elle pouvait enfin se sentir un peu mieux, comme l'air humide qui disparait en même temps que la pluie tombe. Étrange comparaison, n'est-ce pas ? Mais bon, c'était la vérité pur et simple.

Yuki s'arrêta un instant. Elle venait d'apercevoir une animalerie, ainsi que plusieurs nekos à l'intérieur. Alors il n'étaient que cela, hein?... De pauvres bêtes stupides qui attendent impatiement que quelqu'un veuille bien d'eux. Du moin, c'est ce que pense les humains. Elle ne se laissera certainement pas avoir. Peut-être allait-elle même aider les autres ? Eux non plus, ils n'ont surement pas choisit d'être comme cela. D'être à cet endroit. Ils y ont surement été obliger... Prise par une colère sombre, elle ferma les yeux, écoutant silencieusement la pluie. Chaque fois qu'elle pensait aux humains, aux êtres les plus égoistes de la planète, elle rageait de cette façon. D'où venait cette haine, allez-vous me dire... ? D'un jour de pluie comme celui-ci. Un jour grisâtre, le jour où elle avait décidé de fuguer de chez son maître, refusant d'accepter sa nature de neko. Elle se rappelle chaque détaille de ce moment, le moment où les humains l'avaient coincés dans la rues, pour...

Yuki serra les dents, ainsi que les poings. Non, il ne fallait pas qu'elle pense à cela. Elle pris quelques secondes pour se calmer, puis reporta son attenion vers le bâtiment. La curiosité est parfois considérer comme une qualitée, mais, ce n'était pas le cas pour maintenant. Faisant bien attention de cacher ses oreilles ainsi que sa queue de chat, elle se dirigea avec détermination vers le bâtiment, afin d'en apprendre plus sur la façon dont sont traités les nekos. Ce qu'elle découvrit failli la mettre hors de sois : Beaucoup, beaucoup trop de créature de sa race étaient enfermés dans une petite cage, minuscule et attendaient. Lorsqu'elle entra, elle vit plusieurs oreilles se lever sur leurs tête, car ils pouvaient sentr son odeur de neko. Ils devaient surement se demander « Mais que fais un neko dans un endroit pareil ? ». En mettant un doit sur sa bouche, elle leurs indiqua de ne pas révéler sa présence. Eux, qui savaient le malheur d'être attrapés, ne dirent absolument rien. Elle jeta un coup d'oeil au marchand, qui souriat bêtement, pensant qu'il allait avoir un client. Non mais quel idiot.

Elle lui tourna brusquement le dos, puis marcha silencieusement dans le magasin. Des sacs de nourriture pour chats étaient entreposés dans des étagères, ainsi que quelques jouets destinés à amuser les nekos. Des idioties en quelques sorte. Elle s'enfonça dans le magasin, se demandant si elle pouvait faire quelque chose pour aider ces malheureux...

Ca faisait à présent quelques minutes qu’il était entreposé dans le fond de ce magasin et pourtant ça semblait déjà une éternité. En effet, tellement que l’ennuie et l’incapacité de bouger était de la partie, une minutes semblait extrême longue, à croire que ça pourrait être similaire à une heure voir peut-être plus, mais ce n’était malheureusement qu’une impression. Fallait croire que tout était contre eux, contre lui dans le cas présent. Déjà qu’il était enfermé dans une cage à présent tout à fait ridicule, trempé suite au voyage à l’arrière d’un vieux camion bâché tout troué,et les minutes qui se rallonger, à croire qu’on voulait vraiment empirer les choses, comme si on n’en voulait qu’à eux. Mais bon, cette impression que tout lui en voulait était fort proche de la paranoïa, et ce n’était pas son genre, loin de là. Tout ceci n’était qu’en faite une vulgaire coïncidence mais aussi l’ennuie jouer énormément. Normale quoi, lorsqu’on a rien à faire, on voit le temps passer, alors que lorsqu’on est libre, qu’on s’occupe en d’autre terme, nous ne prenons jamais attention à l’horloge. Et un autre petit exemple, lors d’un amusement, c’est le contraire, les temps passe super vite, et donc tout ceci n’est qu’impression au final. S’est marrant, non ? De faire une tel réflexion sur une chose aussi simple, mais sachez que lorsqu’on n’a rien à faire, on s’occupe comme on peut, car personne ne peut faire sans s’occuper, même de la façon la plus fainéante…

Des gouttelettes d’eau glisser encore sur ses joues, sans compter celle qui tombée petit à petit de ses mèches raplaties suite à l’eau. Le vendeur pourtant l’avait très bien remarqué à sa descente du camion, ainsi que quelques autres, que l’animal, oui s’est ainsi qu’il était considéré, comme tout le monde d’ailleurs… Avait sa cage mouillé et que le jeune homme aussi l’était, mais rien à faire, vous penser qu’il s’en soucis ? Ho que non, du moins pas lui, car comme déjà dit vu ses précédent son prix ne pouvait pas être élevé et en même temps, il avait déjà gagner l’âge de maturité, alors il devait être encore moins facile à pouvoir vendre. En effet ceux mit en honneur, et en passant quel grand honneur, son en faites les plus jeunes, les adolescent, donc ceux les plus acheter par la clientèle, bah du moins ici, ailleurs il n’en savait rien, vu qu’il ne s’est pas amuser à faire le tour de tous. Enfin bref, il était encore mouillé, et être au fin fond du magasin n’arranger rien, bien que la saison soit logiquement chaude, rien n’empêcher quelque courant d’air de passer. A chaque fois donc qu’il avait un petit courant, il venait à frissonner mais tout en ne bougeant pas. Pourtant il était habitué à plus froid, mais faut dire aussi que ce n’est pas pareil qu’avant, ici il ne savait se réchauffer en bougeant ou en prenant simplement un vêtement supplémentaire, s’était fini tout ça, et il devait faire avec…

En parlant de courant d’air, un gros se fit tout à coup, alors qu’il ne s’y attendait pas, et là, il ne pouvait un petit semblant de rien, et il frissonna donc de plus belle. En même temps il n’avait aucune raison de se cacher, personne ne prenait attention vers cette endroit, ni même le vendeur, mais lui était une exception, il ne prenait pas beaucoup d’attention tout simplement. Ce courant d’air n’était pas du au hasard, la porte d’entrée avait était ouverte, il le savait, car un bruit aigu s’était fait au moment même, sans doute la cloche qui se trouve en haut à gauche de l’ouverture. Une personne venait d’entrer, étrangement les Nekos se trouvant à l’entrée ne firent aucun bruit, lui aurait penser qu’ils allaient se mettre à crier pour attirer l’intention d’un éventuelle maître qui les libera, au moins de ce magasin, car peut-on parler de libertés en étant esclaves ?
Naizen avait relever sa tête un court instant pour regardait, par simple curiosité car il ne faisait rien d’autre, et à peine qu’il vit la personne camoufler dans une vestes, il remit sa tête contre les barreaux afin de regardait le sol, au les quelques gouttes qui dégouliné encore petit à petit… Par contre les pas semblaient se rapprocher de plus en plus, la personne venait elle par ici ? Que viendrait elle faire au fond en même temps ? Alors qu’il se posa ces questions, plus ça s’approcher, mais par pour autant qu’il se mit à gigoter ou à regardait, s’était Naizen, et ce qui l’entourer lui restait dorénavant très indifférent…

( Disolé, l'est petit >.<'' )

Le gros pull noir de la jeune fille avait absorbée toute la pluie qui était tombée, et à chaquepas qu'elle faisait, il lui semblait qu'elle laissait d'énorme flaques d'eau. Un légé « Scouïque » se faisait entendre lorsqu'elle posait un de ses pieds par terre. Elle sentait le regard quelque peu mécontent du marchand tourné vers elle, mais elle l'ignorait tout simplement, de nature glaciale. Non mais, il enfermait des centaines de vies, et elle faisait un peu d'eau dans son magasin. Lequelle était le plus coupable ? Même pas besoin de le dire. Elle serra son vêtement trempée contre elle. Elle se réchauffait en même temps, en quelque sorte. Le son des cloches se fit entendre encore une fois. Un humain venait d'entrer. Son regard rouge birfuqua en sa direction, peu contente d'être en compagnie d'un de ces êtres une deuxième fois. Elle se détourna un peu, pour ne pas avoir à le regarder plus longtemps. Il salua le caissier, et elle entendait ses bruits de pas se rapprocher. * Merde * Elle sentit par la suite une main se déposer sur son épaule. Son corps se raidit immédiatement. Elle se tourna lentement, une expréssion plutôt agressive sur le visage.

« Ne me touches pas. »

Dit-elle d'une voix glaciale. Un visage plutôt grassouillet se dévoila à elle. C'était le marchand, pas le nouveau. Et il n'avait pas l'air de bonne humeur.

« Hey ! Si tu veux un neko, dépêches de l'acheter, j'ai autre chose à faire que de laver le plancher moi ! »

Une expression de dégout se peignit sur le visage de la jeune fille.

« Ça ne fais pas vendeur, ça. »

Siffla-t-elle entre ses dents. Le visage du marchand tourna au cramoisit. Bien sûr, tout ce qu'il l'intéressait, c'était l'argent. Il se retourna et se dirigea vers sa caisse en rochonnant et jurant entre ses dents. Tout ce qui se lisait dans les yeux de la jeune neko était du mépris et du dégout. Elle s'enfonça un peu plus dans le magasin, et arriva dans une section plutôt à part. Les nekos semblaient plus vieux, et encore plus déprimés que les plus jeunes. Lorsqu'elle s'approcha, il se mirent à s'énerver. Cela faisait certainement longtemps qu'ils étaient là, à la recherche d'un maître, ou bien de la liberté. En quelque sorte, elle avait un peu de chance. Bie sûr, on ne peut pas dire que c'était polus facile pour elle de vivre, car elle devait chercher dans les poubelles pour sa nourriture, ou bien voler... Mais elle était libre. Et la liberté est une chose dont rêve ces nekos. Elle sntait toujours son canif dans sa poche, et oulait les libérer de leurs enfers. Elle allait s'approcher d'une cage et l'ouvrit avec son arme, lorsqu'un neko attira son attention. Il était tout à fait innexpressif, et semblait mouillé. Un nouvel arrivant, ça c'était sûr. L'eau de la pluie le différenciait. Mais pourquoi ne réagissait-il pas ? Poussée par la curiosité, Yuki se rapprocha et observa le neko. Il regardait le sol silencieusement. Surement un autre qui n'était pas du genre à jouer à l'animal de compagnie.

[L'est pas p'tit Surprised

]

Le sol était en faite du planché là ou lui et ainsi quelque autres se trouvait. Il n’y avait pas de vinyles ou encore quoi que ce soit pour dire de le recouvrir comme du carrelage aussi, ce n’était q’un détail, mais à coter du reste du magasin, ça ne le faisait pas trop. En même temps rare sont les personnes qui viennent ici, alors il ne faisait pas d’avantage de frais comme il était là. Un grand radin ? Sans doute, comme beaucoup de vendeur, bien que peux veuille dire ne fusse qu’un tout petit peu qu’il le sont. Il était fort étrange quand même ces hommes, d’un coté s’est ce qui faisait leurs charmes, mais de l’autres s’est ce qui les faisait détester. Malgré ce qu’il à déjà subit à cause d’eux, notre jeune Neko ne les haïs pas pour autant, du moins pas tous. Oui, il fallait quand même rester raisonnable, ils n’étaient pas tous pareil, comme pour chaque race si on peut penser dans ce sens, chacun étaient différent, et pour faire encore plus général, il y a les bons, et il y a les méchants. Chez les nekos aussi il n’étaient pas tous des malheureux, certains exagéré dans leurs actes tout comme chez les humains, et si on regarde bien la seule différence était qu’ils avaient le pleins pouvoir, et cette toutes petite différence, faisait énormément…

Alors que tout était calme, on entendit de nouveau le bruit de la clochette retentirent, sans doute une deuxième personne, ou alors s’était la première qui s’en aller, pas vraiment le choix en faite. La réponse fut assez vite donnée, en effet une voix se mit à crier, celle d’une jeune fille plus précisément, suivit d’ensuite de la voix grave d’un homme, et qui est donc le vendeur. Sa voix, il ne sait pas pourquoi, il pourrait facilement la reconnaître parmi tant d’autres, alors qu’il ne l’a entendus que deux à trois reprise vu le peu de temps qu’il est ici. De nouveau sa curiosité lui fit bouger légèrement sa tête afin d’essayer de voir, mais rien, il n’y arriver pas. Normale, sa cage se trouvais derrière un rayon de confiserie, oui, les bonbon qu’on l’on veut pour les animaux tel que pour les chats ou chiens, et eux était décaler en cette direction. Un silence se fit encore juste après, bah un silence, s’était beaucoup dire, car depuis l’arrivée de la deuxième personne, certains des Nekos s’étaient mit à hurler, et s’était plutôt agaçant mais il fallait les comprendre aussi, ça devait être des plus ennuyant de rester enfermer des jours et des jours, alors dés qu’une occasion se présenter avec l’espoir d’être un minimum plus libre.

Des bruit de pas se firent de nouveau entendre, sans oublier un léger bruit aigu autre que celle de la sonnette, s’était beaucoup moins précis, comme si il s’agissait de quelqu’un ayant de l’eau à ses chaussures, et qu’avec le parterre, ce bruit se faisait. Ceci indiqué deux petite chose, tout d’abord qu’il pleuvais encore dehors et qu’une personne venait ici, dans le fin fond de l’animalerie. Que venait elle faire jusqu’ici ? Il n’y avait pas autant de chose intéressante qu’à l’entrée, alors pourquoi ? Un curieux peut-être ? Quelqu’un qui faisait le tour de l’animalerie pour le simple plaisir ou encore pour lui mieux voir ce qu’il avait en marchandise. Mas pourquoi donc i n’avait qu’en tête des idées aussi noir ? S’était pas son genre pourtant, jamais, quoi que non ceci est un grand mot, s’était quand s’était le cas, alors que maintenant, il ne pense que de cette manière, du moins le plus souvent. A croire que d’être toujours enfermé changer les gens, mais aussi le camps de redressement dans lequel il fut envoyé, sans même savoir la véritable raison. Il n’avait fait de mal à personne, du moins dans ses souvenirs, et puis peureux et faible comme il l’est, il n’aurait jamais su le faire.

Ha, voila la personne qu’il avait entendus venir, s’était celle avec un pulls noir, la première si il arrive à bien se rappeler de son peu d’attention qu’il prend à ce qu’il a dans ses alentours. Il n’avait relever les yeux un bref instant toujours pour la regardait, mais aussi tôt, son regard se plongea encore en direction du sol. Celui-ci était toujours pareil, sauf au moment ou une ombre vienne à se placer dessus. Naizen releva à ce moment la tête pour au moins voir ce qu’il avait, et s’est à ce moment qu’il l’aperçu en train de le regardait. Son air était toujours aussi indifférent mais pourtant il vient à glisser un bref sourire tout en fermant les yeux accompagner d’un petit :

"Bonjour…"

Il ne dit rien de plus, s’était simplement par pure politesse qu’il venait de dire ceci. A la fin de ce petit mot, il vint à ouvrir les yeux en reprenant petit à petit son air neutre. Des ses yeux, il regardait la personne en question, bah du moins il la voyait que d’un, le seule qui était d’un bleu clair, contrairement à l’autre qui était d’un gris léger.

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